Le
Garçon d'étage
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Je me prénomme
Edith, 36 ans, et je suis assaillie de fantasmes depuis toujours. A tel
point que j’ai moi aussi passé de longues heures devant le
Minitel à élaborer des scénarios tout en me masturbant
de l’autre main. Avec des hommes ou des femmes suivant les cas, quoique
mon expérience en manière de femmes soit fort réduite
dans le réel (Mais cela n’empêche pas au moins de penser
à des situations excitantes).
Les situations les plus insolites m’attirent
également. J’en ai vécu beaucoup dans le monde virtuel
et quelques unes aussi dans le monde réel. C’est une de celles-ci
que j’aimerais vous raconter aujourd’hui. J’avais trente
ans à l’époque et je venais de divorcer pour la seconde
et dernière fois (Dernière car maintenant j’ai compris
les inconvénients qu’il y a de vivre à temps complet
avec un homme fusse t’il prévenant et attentionné au
possible !).
Je m’étais donc offert une quinzaine
de jours de vacances dans un somptueux hôtel des Canaries. Soleil,
plage et grand luxe : C’est tout ce qu’il me fallait pour me
remettre des péripéties de mon divorce. Je n’avais pas
eu de contact physique avec qui que ce soit depuis de longs mois, mon second
mari et moi ne nous supportions plus depuis bien longtemps avant de prendre
la sain et sage décision de nous séparer. Me voici donc libre
mais toujours seule dans ce luxueux palace baigné par le soleil.
Et la solitude n’étant pas l’antinomie du plaisir, j’avais
pris l’habitude de m’allonger à moitié nue sur
mon balcon et de me laisser aller à contenter ma chatoune de mes
doigts agiles. Souvent je fermais les yeux, j’imaginais quelques situations
insolites et me branlais en y pensant. Toute la première semaine
ainsi sous la douce chaleur du soleil matinal. Je prenais la précaution
de poser le panneau «Ne pas déranger avant midi» à
la porte de la chambre pour être certaine d’être tranquille
et de pouvoir me laisser aller à une douce volupté. L’après
midi était lui consacré aux excursions ou à la plage.
Quant aux soirées, je les passaient en boîte à me faire
draguer par quelques hommes d’affaires en goguette. Mais sans jamais
aller plus loin car je ne trouvais rien d’original ni d’émoustillant
dans ces petits machos aux regards lubriques. Un peu plus de subtilité
s’il vous plait Messieurs ! C’est donc toute seule que je rentrais
à mon hôtel et si parfois l’envie me prenait à
nouveau de m’y caresser sous la douche, c’était plus
par désir d’évasion que parce que j’avais vu était
digne d’intérêt.
Or voici qu’un matin, alors que je suis
allongée quasi nue dans mon relax sur la terrasse, cuisses largement
ouvertes et doigts en train de me titiller le bouton, soudain un bruit dans
la chambre d’à côté, comme un fauteuil qui vient
de tomber. Perturbée dans mon élan mais aussi intriguée
par ce bruit, je hasarde une tête par la balustrade pour entrevoir
l’espace d’un instant un jeune homme affalé sur la moquette.
Je me retire aussitôt priant le ciel pour qu’il ne m’ait
pas vue. La situation est fort simple à comprendre, le petit garçon
d’étage était en train de m’espionner et s’est
ratatiné en faisant un faux mouvement sans doute. Mais depuis quand
me regarde t’il ? Et les jours précédents, il était
là aussi ? Après tout, je me dis pourquoi pas ! Je ne suis
pas spécialement attirée par les jeunots mais il est mignon
et c’est une occasion, non ? Si ça lui plait de me mater ainsi
en train de me branler, pourquoi ne pas lui offrir ce spectacle. Je me remets
donc en position, prête à parier que dès qu’il
se sera remis de ses émotions, il reviendra à la charge pour
reprendre son activité de voyeur. Je prends soin d’orienter
la vitre différent et bientôt je suis récompensée
en voyant le reflet d’une ombre s’approcher. Du coup cela me
stimule et je m’astique de plus belle en me cambrant sous la caresse
et en couinant de jouissance. Je me laisse totalement aller, heureuse de
cette présence, heureuse d’être ainsi contemplée
dans tous mes états. Et je jouis sans retenue pour lui plaire.
Le lendemain j’attends que la porte
d’à côté s’ouvre pour filer sous le balcon.
C’est lui, j’en suis sure. Je lui sors le grand jeu. Saisissant
des bananes, je les enfonce lentement en moi et mime un va et vient lanscinant.
Je suis certaine qu’il n’en perd pas une miette et qu’il
est scotché à la vitre. «Hummm, il me faudrait quelque
chose de plus gros, il y en a un dans ma valise» que je dis suffisamment
fort pour être sûr qu’il entende. Et du coup je m’en
enfonce une dans l’anus avec un maximum de perversité. Je veux
qu’il pense à moi toute la journée, qu’il pense
à moi comme une vicieuse qui a envie de tout, comme une perverse
insatiable. L’après midi je le croise justement à la
piscine. Il faut voir son air lorsqu’il m’aperçoit, je
dois me pincer pour ne pas éclater de rire. Je suis certaine qu’il
a hâte de s’éclipser pour que personne ne remarque la
bosse sur le devant de son pantalon
Le lendemain au mon réveil, j'ai une
immense envie de baiser. Mais cette fois je me dis que ce serait vraiment
un sacrilège de me satisfaire à nouveau en solitaire. J’ai
besoin de lui pour assouvir mes ardeurs. Je l’attends fébrilement
derrière la porte, guettant chaque pas dans le couloir. Je suis entièrement
nue sous un peignoir léger, prête à bondir dans le couloir
à la moindre alerte. Vers les dix heures, j’entends l’ascenseur,
j’ouvre la porte mais ce n’est qu’un client qui regagne
sa chambre. Un peu plus tard de nouveau l’ascenseur et quelqu’un
qui passe devant ma porte. Je tombe nez à nez avec lui en le laissant
pantois. Sans aucune gêne devant lui, mon peignoir à moitié
ouvert devant lui laisse entrevoir la naissance d’un sein ou le haut
d’une cuisse. Je l’attrape carrément par la main et l’entraîne
dans ma chambre. Le peignoir glisse sur mes épaules et je me retrouve
entièrement nue et offerte à sa merci. Et sans gêne,
entreprends de me masturber face à lui en devinant son sexe en train
de durcir entre ses cuisses. Et moi j’avais hyper envie de lui, de
ce jeune homme un peu frêle et imberbe qui me dévorait de ses
yeux. Je me suis sentie toute moite entre les jambes, pleine de désir
de me faire prendre. Alors, langoureusement, je me suis approchée
de lui et lui ai donné ma bouche.
Fébrilement, maladroitement, je l’ai
senti prendre mes seins entre ses doigts graciles, puis hasardé une
main sur mon sexe en fusion. De ma main j’ai libéré
sa trique et l’ai tâtée pour m’apercevoir qu’elle
était déjà bien dure entre mes doigts. Et tout en l’incitant
à me pénétrer avec ses doigts, je commençai
à doucement branler son engin. Il s’est laissé guider
et à entrepris une douce pénétration de ma chatoune
en feu, et ce faisant je le guidai vers mon clito afin qu’il le titille
lentement. Nous étions ainsi tous les deux debout en plein milieu
de la pièce en train de nous branler mutuellement et l’envie
d’être prise était tellement forte en moi que je n’avais
pas envie de traverser la pièce pour rejoindre le lit. Je me suis
allongée là, sur la moquette en l’attirant à
moi et j’étais tellement trempée qu’il a glissé
sans peine d’un coup au creux de mon ventre. Il s’est mis à
bouger lentement, puis plus vite. Par bonheur il n’était pas
puceau comme je l’avais cru au départ. Et même à
vrai dire très doué car il réglait au mieux ses mouvements
pour que nos deux corps avancent de concert vers la jouissance. Son membre
dur et brûlant me labourait désormais avec plus de force et
je répondais à ses coups de hanches par des coups de reins.
Il m’a pistonnée ainsi des minutes interminables, m’emmenant
sans cesse presque au bord de la jouissance puis retardant notre orgasme.
Un véritable expert, je n’avais encore jamais connu aussi bien.
Et au terme de toutes ces allées et venues nos orgasmes simultanés
ont été foudroyants. Et j’ai hurlé de bonheur
en sentant un puissant jet de foutre s’épancher en moi. J’ai
senti le liquide chaud et visqueux me remplir tandis que des spasmes secouaient
tout mon corps.
Nous sommes restés un long moment ainsi
avachis sur le sol, exténués par tant d’effort. Puis
je me suis penchée sur son entrecuisse pour lui lécher le
gland avec la langue. Il recommençait déjà à
bander. Et moi je n’avais qu’une envie, celle de le voir à
nouveau à nouveau m’asperger de sa semence. Aussi ai-je entrepris
de le pomper en enfonçant toute sa queue dans ma gorge. J’allais
et venais sur son vit et lui jetant quelques regards lubriques et je sentais
peu à peu monter la pression dans son membre. J’avais à
cet instant envie de me faire asperger la figure de sa colle ou alors de
tout avaler. Mais ce petit vicieux avait d’autres idées en
tête. L’histoire de la banane lui avait sans doute donné
des idées car il me retourna et, sans plus de ménagement enfonça
sa queue raide dans mon anus. La violence de la pénétration
me fit échapper un cri de douleur qui n’eut pour effet que
celle de redoubler son ardeur. Me prenant par les hanches il entreprit de
me sodomiser en bonne et due forme. Presque cinq ans que je n’avais
pas été prise par là et cela n’avait jamais été
vraiment mon truc. Mais, cette fois-ci, malgré la douleur, j’ai
sentis la jouissance s’emparer de moi, une onde de chaleur intense
s’emparer de tout mon bas ventre, puis tout mon corps sillonné
de spasmes faisant dresser et durcir jusqu’à la pointe de mes
seins. J’explosai littéralement tandis que ressortant sa queue
au dernier moment il m’aspergeai le dos de jets de foutre avant de
s’essuyer le gland sur mes fesses.
Deux minutes plus tard il était dehors,
sans doute quelque contrainte horaire due à son travail, me laissant
pantelante et rassasiée à même la moquette. Inutile
de préciser que mes trois dernières matinées de vacances
furent du même accabit. Et que, même si je rentrai à
Paris avec le cul en chou fleur et le minou éclaté, c’est
en tout cas avec des images plein la tête, qui me donnent envie, quand
j’y repense, d’y retourner ou tout du moins de me caresser.
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