Partouze
à la Ferme
Béné
est très sensuelle, assez exhibitionniste, et aime
bien me suivre dans mes délires. Des copains nous
avaient indiqué une ferme, en Bretagne, sur le bord
de mer, qui offrait des chambres d'hôtes dans des
communs superbes. J'ai réservé. Nous avons
été accueillis de façon charmante par
une forte femme.
A l'heure du dîner, nous avons vu arriver un solide
gaillard (le fils de la maison) souriant et sympathique,
très bavard, qui n'avait que 17 ans alors qu'il en
paraissait 20. Bénédicte avait l'air très
à son goût, et il ne cessait de parler - plus
à elle qu'à moi - en la faisant rire sans
cesse. Il faut dire qu'elle est plutôt jolie, et que
comme toujours, elle avait une jupe assez courte et un décolleté
qui plongeait bas entre ses seins, laissant apercevoir par
instant la dentelle blanche de son soutien gorge. Après
ce dîner sympathique et arrosé, tandis que
la maîtresse de maison allait coucher ses petits,
Grégoire a tenu à nous offrir une prune maison.
Je crois que ces bons sentiments allaient surtout à
Bénédicte. Dès qu'elle s'est assise
dans un fauteuil bas, il a eu l'air très attiré
par ses jambes dévoilées pratiquement jusqu'à
la naissance de ses bas noirs, et n'a pu retenir une moue
admirative qui n'a échappé à personne.
Grégoire s'est assis en face de Béné,
je voyais que ses joues rosissaient et qu'elle faisait moins
d'effort pour maintenir serrés ses genoux. Le garçon
devait savoir maintenant qu'elle portait des bas et un joli
slip de dentelle blanche. Je trouvais la situation amusante
et un peu excitante. Grégoire la draguait de plus
en plus ouvertement, mais sans un geste ou une reflexion
directe. Béné lui laissait par moment des
aperçus de plus en plus nets de son intimité,
en ouvrant brièvement les jambes pour les croiser
ou changer de position, et je me demandais dans quelle mesure,
avec son air d'ange, elle ne le faisait pas exprès,
Grégoire ne cherchant pas le moins du monde a dissimuler
les coups d'oeil qu'il lançait sous sa jupe. Mais
il se faisait tard et le garçon, visiblement désolé
de nous voir le quitter, nous a accompagnés jusqu'aux
communs. Il en a profité pour nous faire remarquer
la fenêtre de sa chambre, en face de la notre, et
nous a demandés à quelle heure nous souhaitions
prendre notre petit déjeuner. J'ai proposé
à Béné de lui faire couler un bain.
Lorsque je suis sorti de la salle de bain, je l'ai vue accoudée
à la fenêtre ouverte, fumant une cigarette
et discutant avec quelqu'un qui ne pouvait être que
Grégoire. Il avait l'air bigrement mordu, le gaillard
!
Je me suis glissé le long du mur, sans qu'il me voit,
et suis arrivé à quatre pattes à la
hauteur de Béné. Je me suis agenouillé
devant elle, entre le mur et ses jambes qu'elle a gentiment
écartées de chaque coté de moi, sans
rien manifester, habituée qu'elle est à nos
jeux souvent coquins.
J'avais
le visage collé contre son ventre. Elle m'a posé
la main sur la tète sans modifier son dialogue avec
le garçon. J'ai roulé sa jupe, écarté
l'élastique de son slip et collé mes lèvres
sur sa jolie chatte. Elle s'est un peu déplacée,
ouvrant les cuisses, bien accoudée à la fenêtre.
La petite salope était déjà mouillée
et je sentais sa fente s'ouvrir dans ma bouche. Gobant son
clito qui se dressait, et passant la langue dans son sillon,
je la sentais frémir.
C'était terriblement excitant de la sucer debout,
à quelques centimètres de Grégoire
qui ne se rendait compte de rien et commençait à
la draguer de façon plus insistante, la trouvant
sans doute plutôt réceptive - et pour cause:elle
adore se faire bouffer la chatte !
-
C'est votre mari qui prend un bain ?
- Oui, il a eu des rdv difficiles aujourd'hui, et nous sommes
partis dès qu'il a quitté son bureau.
- Alors il doit être fatigué, mais vous ; vous
n'avez pas l'air fatiguée ? Et puis une belle nuit
comme celle là, c'est pas fait pour dormir !
- C'est vrai que la nuit est belle ! Lui répondit-elle.
- Elle est moins belle que vous ! dit le garçon.
Vous êtes rudement jolie, vous savez ça ! On
a du vous le dire souvent !
- C'est gentil et très agréable à entendre,
fit-elle d'une toute petite voix, en tressaillant alors
que je lui enfonçais simultanément ma langue
dans le vagin et un doigt à l'entrée de son
petit trou.
- Quand on vous regarde, on voit bien que c'est pas du toc
!
Ca c'était direct. J'imaginais qu'il parlait ses
seins de Béné qu'il avait sous les yeux. Pas
farouche, elle s'est contentée d'un petit rire aussi
mouillé que la liqueur qu'elle me distillait dans
la bouche.
- Et puis, reprit Grégoire, c'est rare qu'une femme
porte des bas. C'est pourtant rudement plus joli que des
collants !
Elle n'a pas répondu et il a continué :
-Dites, je voudrais pas vous déplaire, ni à
votre mari, mais il y a quelque chose que j'ose pas vous
demander. J'ai peur de vous fâcher !
- Et bien dites, et je vous promets de ne pas me fâcher
! Répondit-elle parcourue de frissons alors que je
la suçais de plus en plus profondément.
- Vous êtes si jolie, et j'ai pratiquement jamais
vu une aussi belle poitrine ! Ca vous mettrait pas en colère
si je vous demandais de me la montrer ?
Cela m'excitait tellement que je ne voulais pas qu'elle
refuse, et d'une petite tape sur les fesses je l'ai encouragée.
Le garçon insistait doucement:
- Je vous embêterai pas plus, c'est promis ! Vous
voulez bien dites ? ...
Je
sentais, à la quantité de foutre qu'elle me
versait sur la langue qu'elle était au bord du plaisir,
et je l'ai entendu répondre d'une voix rauque
- D'accord, mais sage, hein !
- Oh oui ! promis !Elle s'est redressée ; En levant
les yeux je la voyais défaire les boutons de son
chemisier en me regardant ! Elle l'a enlevé et laissé
tomber derrière elle, puis passant les mains dans
son dos, elle a dégrafé son soutien gorge.
C'était superbe et très excitant. Elle a fait
glisser les bretelles le long de ses bras et enfin a dévoilé
à son admirateur ses seins magnifiques, pleins et
ronds, avec leur téton rose au milieu d'une auréole
sombre. Je continuais à la lécher en admirant
ces masses laiteuses que j'avais rarement admirées
dans de telles circonstances. Et puis j'ai vu la main du
garçon s'avancer, caresser, palper et soupeser l'un
après l'autre ses nichons, et l'autre main est apparue,
pelotant et pinçant ses tétons qui se tendaient
autant que son clito l'était entre mes lèvres.
Elle avait baissé la tête, regardant tour à
tour ces mains sur ses seins et ma bouche sur sa chatte.
Elle respirait plus bruyamment, et s'est penchée
en avant. J'imagine qu'elle offrait ses seins au garçon.
Les jambes tremblantes, je l'entendais gémir, sucée
en haut et en bas, et je sentais monter son orgasme. Elle
a jouit en feulant et en me déchargeant dans la bouche,
et le garçon s'est mépris:
- Putain ! En plus vous êtes rudement sensible des
seins ! Venez avec moi dans la grange, je vais vous montrer
comment on baise dans la paille, à la campagne.
- Non ! Je ne veux pas, et vous m'avez promis d'être
sage ! et puis mon mari va sortir de son bain !
Le garçon a du s'éloigner, car elle a refermé
la fenêtre et tiré les rideaux, puis s'est
dirigée vers le lit en me tendant la main.
- Viens ! Baises moi maintenant !
Elle a retiré sa jupe et son slip tandis que me déshabillais
et s'est allongée, cuisses ouvertes, la fente béante
; Je me suis jeté sur elle et l'ai prise d'un coup
de rein, jusqu'au fond de son petit con, alors qu'elle croisait
ses jambes sur mon dos.
Profondément enfoncé en elle, sans bouger,
je lui parlais :
- C'est bon de se faire sucer en même temps les seins
et la chatte par deux hommes, hein ma petite salope ?
- Oh oui, c'est bon ! - C'est toi qui me rends salope !
- Tu n'aurais pas aimé te faire défoncer ta
petite chatte dans la paille ?
- Si ! Parles moi encore ! J'aime ça !
- En se relayant, lui et moi, je suis sur qu'on t'aurai
baisée comme une reine !
- Oui ! Baises moi fort !
- Alors tu vas aller le chercher !
- Non pas maintenant ! Baises moi, fais moi jouir !
Nous avons jouis ensemble. Je me suis relevé et ai
jeté un coup d'oeil en écartant le rideau.
Grégoire se tenait à la fenêtre de sa
chambre éclairée.
- Ton admirateur attend un signe de toi !
- Il est toujours là ?
- Oui ! A la fenêtre de sa chambre !
Je suis revenu à coté d'elle pour continuer
à la caresser, lui disant
- J'aimerai t'emmener dans cette grange et faire l'amour
dans la paille !
- Mais il va nous voir sortir et nous rejoindre !
- Eh alors ? De quoi as tu peur ? Il a été
très doux en te caressant les seins ! Je suis sur
que tu serai heureuse d'ètre comblée dans
le foin par deux hommes !
- Salaud ! Tu veux vraiment qu'il me saute ? Me demanda
t elle d'une petite voix hésitante, mais sans avoir
l'air vraiment outragée.
- Oui mon coeur, j'aimerai beaucoup ! ...Viens...
- Tu es vraiment un salaud...
- Tu n'en as pas envie ? C'est dommage ! Ça m'aurait
beaucoup plu, mais tant pis !
J'ai glissé un doigt dans son vagin en la masturbant
lentement ; Elle a écarté grand ses cuisses
et m'a répondu, murmurant à mon oreille :
- Quand tu prends une petite voix, comme lui, pour essayer
de me convaincre, tu sais bien que je ne peux pas résister...
Surtout quand tu me fais ce que tu es en train de me faire
... C'est bon... Oui, j'en ai envie ! Tu as vraiment fais
de moi une pute......... Et j'aime ça ...
- Je t'adore ! Viens !
Elle a passé sa tenue de nuit, caraco et culotte
en satin, et son manteau ; tandis que j'enfilais pantalon
et pull, puis nous sommes sortis pour aller jusqu'à
la grange. Grégoire a quitté l'embrasure de
sa fenêtre et nous a rejoint quelques secondes plus
tard. La nuit était très claire. Il nous a
demandé, un peu hésitant.
- Alors, vous avez envie de visiter ?
- Oui : lui ai je répondu. Bénédicte
m'a dit que vous lui aviez parlé de votre grange,
et j'adore la paille ! ...
Il a allumé une petite ampoule qui nous permettait
bien suffisamment de nous distinguer, et il avait l'air
surpris et interrogatif.
- Ne vous inquiétez pas, Béné m'a raconté
votre conversation à la fenêtre, et j'ai pensé
que vous seriez content que nous puissions la poursuivre
tranquillement ici ! Ai je ajouté en retirant le
manteau de ma compagne devant un Grégoire ahuri,
les yeux rivés sur ma compagne.
La scène était un peu surréaliste :
Elle en tenue ultra légère dans cette grange
tapissée de paille, faiblement éclairée,
encadrée de deux garçons. Elle avait l'air
aussi intimidée que Grégoire, mais consentante,
se laissant admirer. J'ai demandé :
- Elle est belle hein ?
- Oh oui ! A t il fait, hésitant. Elle est très
belle !
Je l'ai allongée sur un lit de foin, le garçon
à ses cotés, et tandis que je l'embrassais
en caressant ses seins a travers le satin, Grégoire
a tout de suite
glissé la main sous sa culotte pour caresser sa petite
chatte que je savais bien ouverte et humide. J'ai senti,
au tressaillement de ma compagne, qu'il avait atteint le
point sensible, et devait la branler avec douceur, car elle
ronronnait de plaisir, totalement offerte.Nous avons passé
un moment superbe, et j'ai pu admirer Béné
chevauchée à trois reprises par son jeune
étalon fougueux. Il la baisait sans violence, mais
avec la force, la vigueur de ses 17 ans, sans un mot, juste
concentré sur son plaisir de jeune homme sain, encore
inexpérimenté.Par
3 fois, je l'ai vu jouir sous son cavalier, les jambes nouées
dans son dos, tendue, elle aussi vers le seul plaisir physique
que lui procurait la vigueur de cette queue jeune et endurante
qui la labourait. Il la besognait comme il devait travailler
la terre, sans précipitation, avec lenteur et force,
et lorsqu'il a roulé sur le coté avec un grognement,
épuisé et repu, ils sont restés inertes
tous les deux, les yeux fermés, et je n'ai pas bougé,
un peu attendri, les laissant profiter de cette détente.
Puis Béné a bougé, s'est tournée
vers le garçon et l'a embrassé légèrement
en lui disant :
- C'était très bon ! Maintenant nous allons
rentrer !
Nous avons regagné notre chambre. Je l'ai prise sans
un mot, aussi doucement que Grégoire. Elle avait
l'air heureuse. Elle a jouit en même temps que moi,
et, détendue et souriante, s'est endormie.
Le lendemain matin Grégoire était parti et
nous avons continué notre promenade amoureuse.
Damien |