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Jane Birkin nue
Jane Birkin est née le 14 décembre 1945 à Londres.
Son père, David Birkin, est un aristocrate, commandant dans la Royal Navy. Quant à sa mère, Judy Gamble, elle est une grande comédienne de théâtre, égérie de Noël Coward, connue sous le nom de Judy Campbell. Jane passe une enfance bourgeoise et chaleureuse avec son frère aîné Andrew et sa petite sour Linda.
 
 
Swinging Jane
Dans les années 60, Londres est en pleine effervescence artistique. C'est dans cette atmosphère que la toute jeune Jane Birkin fait ses débuts de comédienne dans la comédie musicale, "Passion Flower Hotel". Elle fait sa toute première apparition au cinéma dans "The Knack" de Richard Lester en 1965. Mais c'est dans la palme d'or au festival de Cannes 67, "Blow Up" de Michelangelo Antonioni, qu'on remarque cette jeune fille maladroite et timide. A cette époque, elle épouse le musicien John Barry, compositeur du célèbre thème de la série des James Bond. Une petite fille, Kate, naît le 8 avril 1967, alors que le couple est déjà au bout de sa relation.
En 1968, de l'autre côté de la Manche, le réalisateur Pierre Grimblat cherche une jeune actrice anglophone pour le film "Slogan" dont le héros est Serge Gainsbourg. Agé de 40 ans, ce chanteur, compositeur, écrivain et acteur a déjà une longue, riche et tumultueuse carrière derrière lui. A cette époque, il sort d'une brève histoire d'amour avec Brigitte Bardot et révolutionne à lui seul la chanson française. Engagée pour remplacer Marisa Berenson, Jane débarque sur le tournage sans parler un mot de français. Gainsbourg, du haut de son expérience, la malmène un peu. Mais au court d'un dîner en tête à tête chez Maxim's, le Français et l'Anglaise sympathisent à tel point qu'une histoire d'amour, désormais légendaire, naît entre eux.
 
 
Je t'aime, moi aussi..
Très friand de sorties nocturnes, Gainsbourg se montre désormais toujours en compagnie de cette jeune Anglaise aux longues jambes. Ils sont le couple en vogue que le tout-Paris s'arrache. Avant d'être célèbre pour ses talents de comédienne et de chanteuse, Jane Birkin tire sa notoriété de son histoire d'amour avec Gainsbourg.
En 1969, ils tournent ensemble dans deux films très moyens ("les Chemins de Katmandou" et "Cannabis"), mais qui à leurs yeux, ont l'avantage de les réunir. Ils sont inséparables. Puis, Jane part sur la côte d'Azur tourner dans "la Piscine" de Jacques Deray aux côtés d'un autre couple célèbre (quoi qu'alors séparé), Romy Schneider et Alain Delon.
Mais cette année-là, l'événement est discographique. En 1968, Gainsbourg avait écrit pour Brigitte Bardot "Je t'aime, moi non plus", un titre très sulfureux. Mais, l'enregistrement n'était jamais sorti. Un an plus tard, c'est Jane Birkin qui reprend la chanson dans son tout premier album "Jane Birkin Serge Gainsbourg". En fait, Jane chante six titres sur onze, dont le duo de "Je t'aime moi non plus". A sa sortie, ce titre fait scandale. La presse est en émoi, les radios censurent le 45 tours et même le Vatican réagit. Finalement, tout cela apporte une publicité énorme au disque qui se vend à près d'un million d'exemplaires en quelques mois. Un voile érotique plane sur le couple et dans le monde entier, leur histoire d'amour est la cible des journaux.
 
Installés dans l'hôtel particulier de la rue de Verneuil à Paris, jan et serge entame une période plus paisible après un démarrage en fanfare. La fille de Jane, Kate, vit en grande partie à Paris et Serge l'élève comme son enfant.
En 1970, Jane tourne deux petits rôles dans des productions secondaires. En fin d'année, elle participe à l'album de Gainsbourg "l'Histoire de Melody Nelson" dont l'enregistrement s'achève à Londres fin janvier 71. On ne l'entend guère chanter, mais elle en est de toute évidence l'inspiratrice. Son visage est sur la pochette de cet album considéré comme un chef-d'oeuvre par beaucoup. Cet album concept est co-écrit et arrangé par Jean-Claude Vannier qui travaillera sur la plupart des disques de la chanteuse jusque dans les années 1990.
Six mois plus tard, le 21 juillet 71, naît leur fille Charlotte dans une clinique londonienne. A cette époque, la presse commence à annoncer un mariage pour 1972. Effectivement, on parle d'une énorme fête dans la gare de Lyon à Paris qui pour l'occasion serait transformée en une géante salle de bal. Mais Jane décide de renoncer. Elle préfère ne pas se marier et éviter ainsi un raz de marée médiatique envahissant.
 
 
Serge Gainsbourg tourne son premier film, "Je t'aime moi non plus" et donne à Jane le rôle d'une jeune femme au style très androgyne. Le tournage démarre en septembre 75 dans le Gard, chaude région du sud de la France. Sur fond d'homosexualité et d'ambiguïté sexuelle, ce film donne lieu à sa sortie en mars 76 à un effarouchement général. La presse est d'une rare agressivité envers Gainsbourg. Et Jane Birkin n'est pas épargnée. Cependant, certains apprécient dont le réalisateur François Truffaut ou le journaliste Henri Chapier qui écrit dans le Quotidien de Paris : "Dans la carrière tranquille de Jane Birkin, ce film est une bourrasque (.)." Le film fait environ 150.000 entrées à sa sortie, mais est depuis devenu un film-culte qui ne cesse de tourner dans les cinémathèques.
 
Et Serge la fait chanter
Après "Lolita go home", un album en 1975 co-signé Gainsbourg, Philippe Labro et Jean-Pierre Sabard, Jane retrouve un vrai succès discographique grâce à la bande originale de. "Je t'aime moi non plus". Il ne s'agit pas du duo de 1969, mais de "la Ballade de Johnny Jane", autre petit chef-d'ouvre de Gainsbourg qui mène Jane dans les hit-parades.
En 1977, elle touche un peu à l'écriture via le texte de la chanson "Yesterday yes a day" écrite pour la bande originale du film "Madame Claude". L'année suivante, elle retrouve à nouveau le succès grâce à son nouvel album "Ex-fan des sixties". La chanson-titre rentre à son tour dans le large cercle des plus beaux titres que Gainsbourg a écrit pour sa compagne. Sur l'album, on trouve aussi "l'Aquoiboniste", étrange texte qui rend compte du talent d'auteur de Gainsbourg et de son goût du jeu littéraire dont Jane se fait un parfait porte-parole pour la dernière fois avant plusieurs années.
Jane Birkin continue de tourner des comédies et des films commerciaux ("l'Animal" de Claude Zidi avec Jean-Paul Belmondo en 1977, "Mort sur le Nil" de John Guillermin avec Peter Ustinov en 1978).
 
 
Changements de cap
A la fin des années 70, Jane disparaît un peu des écrans et des studios d'enregistrement. Sa vie avec Gainsbourg prend un tour plus difficile depuis que le musicien multiplie les excès. Alcool, sorties nocturnes et provocations médiatiques commencent à rendre l'ambiance tendue au domicile conjugal. Une nuit de 1980, Jane quitte la rue de Verneuil avec ses filles. Elle s'installe pendant deux mois au Hilton, puis après quelques déménagements, elle achète une petite maison du XVIème arrondissement de la capitale. Entourée d'un petit jardin, cette maison restera l'antre de Jane pendant plus de 15 ans. En dépit de cette séparation, le couple reste lié. Jane et Serge sont unis autour de leur fille et se voient fréquemment.
Dès 1980, un autre homme important entre dans la vie de Jane Birkin avec lequel, comme Gainsbourg, elle va vivre et travailler. C'est le réalisateur Jacques Doillon, qui à cette époque, a déjà quelques films à son actif. La rencontre a lieu à l'occasion du tournage de "la Fille prodigue" que Doillon réalise cette année-là. Pour Jane, le rôle qu'il lui offre aux côtés de Michel Piccoli, marque une étape importante dans sa vie de comédienne. Pour la première fois, elle tient à la fois le rôle principal et interprète un personnage tout en souffrances, très loin de l'ingénue naïve des années 70. Elle révèle ainsi une facette tragique que peu de metteurs en scène avaient mis à jour jusqu'alors.
Jane Birkin devient la compagne de Jacques Doillon et en septembre1982 naît leur fille, Lou. Jane continue de tourner au moins une fois par an et son choix se porte sur des rôles plus difficiles, plus graves ("la Pirate " de Doillon et "l'Amour par terre" de Jacques Rivette en 1984, "la Femme de ma vie" de Régis Wargnier en 1986). Elle ne disparaît pas pour autant des comédies qui ont fait son succès quelques années plus tôt ("Circulez y'a rien à voir" de Patrice Leconte en 1983, "le Garde du corps" en 1984).
 
 
Retrouvailles
En 1983, Jane Birkin retrouve la chanson grâce à Serge Gainsbourg. C'est un événement musical d'autant plus que l'album que Gainsbourg vient de lui écrire ("Baby alone in Babylone") est considéré par beaucoup comme le plus bel album de Jane. Alors que le musicien est à cette époque sous les feux des projecteurs pour ses provocations auto-destructrices très médiatisées, il écrit pour Jane un album tout en tendresse et en délicatesse. Il joue, comme à son habitude, avec les mots, mais avec un talent sublimé par cette rupture dont il ne s'est pas remis. C'est ainsi que les titres "Baby Lou", "Fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve" ou "les Dessous chics" (la chanson préférée de Jane) obtiennent les faveurs du public conquis, voire ému, par ces retrouvailles musicales. Jane remporte pour ce disque son premier disque d'or.
L'album donne lieu aussi à un court-métrage réalisé par Gainsbourg. L'année suivante, l'extrait de l'album "Baby alone in Babylone" obtient le Grand Prix de l'Académie Charles-Cros.
En 1985, Jane se lance dans une nouvelle expérience : le théâtre. Le metteur en scène Patrice Chéreau la convainc de monter sur les planches du théâtre des Amandiers dans la banlieue parisienne pour interpréter la très classique pièce de Marivaux, "la Fausse suivante". C'est une réussite et auprès de son partenaire de "la Fille prodigue", Michel Piccoli, Jane Birkin obtient un vrai succès public.
La même année, c'est sa fille Charlotte, qui fait ses premiers pas au cinéma dans "L'Effrontée" de Claude Miller. Ce premier rôle est récompensé puisqu'en mars 86, entourée de ses parents émus, Charlotte reçoit le césar du meilleur espoir féminin du cinéma français pour l'année 85. Toujours en 85, Charlotte tourne aussi dans un film sulfureux signé papa, "Charlotte forever". Cette histoire de père très attaché à sa fille fait bien sûr scandale. C'est également le cas du titre "Lemon Incest" qui sort peu de temps après et est extrait de l'album "Charlotte forever" que Serge écrit à sa fille en 86.
 
 
Jane et son public
Pour Jane, l'année 1987 est riche et variée. Gainsbourg lui écrit un nouvel album, "Lost Song". Les neuf titres de ce 33 tours sont enregistrés à Londres sur des musiques signées bien sûr Gainsbourg. Mais, comme il l'a déjà fait, et en particulier pour Charlotte, Gainsbourg puise son inspiration chez les compositeurs classiques. Après Chopin pour Charlotte, il s'inspire d'un air de l'opéra "Peer Gynt" d'Edvar Grieg pour le titre "Lost song" de Jane.
Cet album mène Jane sur la scène du Bataclan à Paris en mars 87. Pour la chanteuse, c'est une première. Elle n'a jamais donné de concert depuis ses débuts. Mais en dépit de cette inexpérience, c'est un vrai succès. Le public est séduit et enthousiaste. Servie par une mise en scène sobre et minimale, Jane Birkin offre un récital presqu'en totalité gainsbourien. Quand elle ne chante pas Gainsbourg, c'est pour aborder un autre poète, Léo Ferré et sa légendaire chanson "Avec le temps". Un mois après le Bataclan, elle participe au festival du Printemps de Bourges en avril. A cette occasion, Gainsbourg la filme sur scène.
Mais 1987 est aussi une année cinéma un peu différente. La cinéaste Agnès Varda consacre deux films à Jane Birkin : "Jane B. par Agnès V" qui est un documentaire, et "Kung-Fu Master" qui évoque une histoire d'amour entre une femme de 40 ans (Jane) et un adolescent joué par le fils de la réalisatrice, Mathieu Demy. Dans ce dernier film, de nombreux éléments autobiographiques interviennent se mêlant à la fiction. Les parents et les filles de Jane dans le film sont joués par ses propres parents et ses propres filles, Charlotte et Lou. Les scènes d'intérieur sont aussi filmées chez la chanteuse.
En 1987, Jane Birkin nue fait également une apparition dans "Soigne ta droite" Jean-Luc Godard.
 En 1990, Serge Gainsbourg écrit un nouvel album pour Jane. Leur collaboration musicale est restée intacte et Gainsbourg est plus que jamais inspiré par son ancienne compagne. L'album se nomme "Amours des feintes" et ce seul titre exprime l'état d'esprit de Serge vis à vis de Jane. Il signe même la pochette d'un portrait à l'encre de chine de la chanteuse. L'album est enregistré en février 90 et sort en septembre.
L'année suivante est très douloureuse pour jane birkin. En effet, le 2 mars 1991, disparaît Serge Gainsbourg, suivi quelques jours plus tard de David Birkin. Comme il était prévu depuis longtemps, Jane Birkin monte sur la scène du Casino de Paris deux mois plus tard en dépit de son chagrin. L'ombre de Gainsbourg plane fortement sur cette série de concerts dont l'ambiance est à la tristesse.

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